« Mon cœur est sans repos, tant qu’il ne repose en Toi », écrit saint Augustin.
L’été arrive après des mois qui sont demeurés atypiques et qui ont généré beaucoup de souffrances tant sociales que psychologiques. Nous entrons dans ce temps particulier avec le rêve, peut-être, d’un retour prochain « à la normale » et, pour beaucoup, avec une fatigue accumulée.
Alors que nous chercherons l’ombre et la fraîcheur en des jours que nous espérons ensoleillés, n’oublions pas que Celui qui a le pouvoir de refaire nos forces et de nous combler en plénitude, c’est le Christ.
Puissent ces vacances ne pas être un temps de vacuité, c’est-à-dire de vide, mais un moment rempli de Sa présence.
Cet été sera alors le moment favorable non seulement pour nous projeter dans un « monde d’après », mais surtout pour laisser le Christ baigner de sa présence notre quotidien en souffrance pour y panser toute blessure.
Michel STEINMETZ +, curé.