Profession de foi

La première communion, appelée parfois communion privée, étant avancée vers l’âge de sept ans depuis la décision de saint Pie X en 1910, certains pays, spécialement la France, ont maintenu l’usage de célébrer une cérémonie festive vers douze ans. C’était la communion solennelle.

Dans les années 1960, à cette étape de la vie chrétienne, s’est progressivement substituée la  « profession de foi », centrée non plus sur l’Eucharistie, mais sur le renouvellement des promesses de baptême. A l’adolescence, à l’aide de sa formation catéchétique, le jeune est supposé apte à bien comprendre le sens de l’engagement baptismal pris en son nom par son parrain et sa marraine. Il lui est donc proposé de le reprendre à son compte en répondant publiquement « je crois » aux questions essentielles de la foi chrétienne. La profession de foi reprend quelques-uns des signes du baptême. Les jeunes portent une aube, comme le vêtement blanc du baptême, signe de pureté. Le prêtre leur confie une croix et un cierge allumé au cierge pascal. Il leur rappelle que le baptême les a incorporés au Christ, à sa mort sur la croix et à sa résurrection dans la lumière. En mettant l’accent sur le renouvellement des promesses du baptême, la profession de foi marque une étape de la vie chrétienne, avant le sacrement de confirmation.

Elle sera célébrée le dimanche 9 mai au cours de la messe dominicale à St-Maurice pour les jeunes de la communauté de paroisses.

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